Sequels Killers
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 Je te brise, tu me brise... ?

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2 participants
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Kamui Oslow

Kamui Oslow


Masculin Age du personnage : Chèvre
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Date d'inscription : 27/03/2011
Ancienneté dans le rp : 33
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MessageSujet: Je te brise, tu me brise... ?    Je te brise, tu me brise... ?  Icon_minitimeLun 28 Mar - 18:28




    Le regard vide d'expression répondit à l'invective du gardien. Il avait abandonné tout espoir. Et pourtant la colère bouillonnait, toujours là, pressante, sous cette fine couche de découragement. Comme l'envie de voir son détracteur mourir sous ses coups, de l'étrangler, de le défoncer à coup de matraque, de lui faire vivre l'enfer. Et pourtant il ne bougea pas d'un poil.
     « Bon chien chien, j'aime ton regard soumis à ma volonté ! Tu as compris maintenant ? Tu ne sortira jamais de cet enfer, tu es mon petit plaisir du soir, que je peux humilier à volonté ! Héhéhéhéhéhéh ! »
    Le lueur de défi dans le regard de son prisonnier s'éteint très vite, tandis qu'un coup du revers de la mains ne viens lui incruster les motive GCK sur la joue. Cette bague dont il était si fière, celle offerte par la maison d'arrêt pour dix années de bon et loyaux services. Approchant sa main du bâillon de l'adolescent enfermé dans cette cellule, qui veut répliquer, rendre coup pour coup, mais qui a les poing liés, son égo brimé, ses envies éteintes. Il lui enlève. Grossière erreur.
    Un éclair blanchâtre, tandis que d'un coup de mâchoire, les dents n'arrachent un pan de peau, celui de l'annulaire, emportant cette bague dans son estomac.
     « Va te faire foutre sale bâtard ! Je te ferais vivre le véritable enfer moi ! Le vrai, le miens … ! AHAHAHAHAHAHA ! »
    Recrachant le bout de peau par terre, il rit, encore et toujours, même quand les coups pleuvent sur lui, même quand ses os se brisent, il rit, comme une longue respiration lui apportant la vie, il rit.
    Un botte lui écrase les doigts, lui brisant l'annulaire.
     « En plus cet enculé à un sale goût ! Ahahahahah ! »


    Un grondement déchire le calme matinale du parc. Grondement mécanique. Kawasaki ZX-10 r, la machine la plus belle au monde pour l'homme à son guidon. 4 cylindres en ligne, quatre temps à refroidissement liquide, développant une puissance de 998 centimètres cube. Deux cents kilos de pur bonheur, tandis que son « maître » ne se tape une pointe impressionnante, à plus de cent cinquante kilomètre heures, sur la ligne droite menant à un bâtiment obscur, vers l'inconnue pour certains, vers son destin pour lui. Le pot claque une dernière fois, alors qu'il active les freins à vue de la bâtisse. Certains auraient dis trop tard. C'était sans compter le double disque de freins, semi-flottant, en pétale, qui le fit décélérée très vite. Son débrayage quasi instantané. Son dérapage à la limite de la chute qui, dans un crissement de pneus reconnaissable entre mille, l'amena sur son emplacement.

    Le casque est soulevé énergiquement, un rire sincère, trop rare, accompagne une cascade de cheveux rougeâtres. Un rire bref, tandis que la sensation grisante de vitesse ne l'atteint encore. Un cigarette rejoint ses lèvres qui s'ouvrent en un sourire malsain, tandis que la première bouffé ne vient prolonger ce rare moment de solitude. De liberté. Son moment, sa vie ne tenait qu'a cela. Se dirigeant vers la porte menant aux salles de cours.
    Aujourd'hui, une sorte de mission avec Cruz, le prof multifonction, surtout doué en manipulation et torture diverses. A dire vrais, Kamui ne savait pas ce qu'ils allaient faire, et il s'en branlait rooooyalement les couilles. Les deux frères Sheigan étaient les seuls à savoir le tenir en laisse, et faut dire qu'ils avaient bien réussit à le discipliné sur certains points. Seulement, pas assez pour lui laisser une once d'autonomie, car à chaque fois, cela dégénérait. Toute façon, c'est pas comme si sa l’intéressait vraiment enfaîte.

    Pénétrant dans la petite salle 707, il ne prit ni la peine de toquer ou même de s'annoncer, et alla tout simplement s’asseoir sur la chaise la plus proche, parmi les quatre présentes dans la petite pièce totalement fermée, car même les fenêtres étaient absentes. A la place de cela, des néons blancs apportait une touche glauque au tableau. Les mains dans les poches, le jeune bailla bruyamment.


     «Putain il arrive quand l'autre enfoiré ? ! J'ai la dalle moi !»
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Cruz Vahan

Cruz Vahan


Masculin Messages : 17
Date d'inscription : 27/03/2011
Localisation : Trouves toi un GPS, tu verras, c'est pratique

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MessageSujet: Re: Je te brise, tu me brise... ?    Je te brise, tu me brise... ?  Icon_minitimeLun 28 Mar - 23:46

Cruz se reveilla tranquillement, aussi tot que d’habitude. Il n’était que cinq heures et demi, et il se reveillait déjà. Bah, rien de bien different de d’habitude. Il se leva donc tranquilement, alla e prendre une douche, et un bon petit dej’. C’est durant son petit dejeuner qu’en general, il se contente de lire le journal, mais la, ce matin, il avait d’autres choses a faire. Sur la table, devant lui, étaient eparpillées un nombre assez impressionant de feuilles. Posé juste devant lui, le calepin fetiche du jeune professeur se remplissait rapidement au rythme de la plume argenté. Vous vous demandez surement, ou p’tet pas du tout (mais dans ce cas j’le dirais quand même) ce que sont ces feuilles ? il s’agissait du dossier complet de Siegfred Oslow, depuis ses années de maternel jusqu'à aujourd’hui. Cruz aimait bien connaitre a qui il avait a faire, et la, se retrouver seul, dans la même piece que l’un des 7 eleves les plus dangereux de l’ecole, ca ne le rejouissait pas plus que ca.

Deux heures plus tard, il se mit en route pour son cours …comment dire, … « particulier ». Il y avait un peu de soleil aujourd’hui, il mit donc une petite paire de Ray Bans, glissa son calepin ainsi que son stylo dans la poche interieure gauche de sa veste, puis, de la poche interieure droite, sortit un paquet de cigarette et un zippo, s’alluma une cigarette, calla bien son beret comme il fallait et sortit de son appart.

Quelques minutes plus tard, il arriva enfin à la salle de cours devant la porte de laquelle se trouvaient deux gardes. Les deux le saluerent de façons assez formelle, salut auquel il repondit d’un simple signe de tête. Il enchaina ensuite par un deuxieme geste de la tête en direction de la porte avec les sourcils legerement froncés, en guise de simple demande, ce geste voulait clairement signifier « il est arrivé ? ». Tandis qu’il se raprochait de la porte les deux hommes lui repondire par un acquiescement tout simple. Une fois a leur porté, il s’arreta entre eux, face a la porte. Il plongea alors sa main dans sa poche interieure gauche et en ressortit son paquet d’où il extirpa deux clopes qu’il tandit aux garde avec un sourire chaleureux, qu’ils rendirent en prenant les cancerettes. Il soupira longuement de depit, et se decida à entrer. Il tendit la main, aggripa la poignée, et dans un crissement, l’abaissa et tira la porte vers lui.

Une fois dans la piece il regarda le jeune homme déjà assis, et il n’y avait pas besoin d’être un genie de l’observation pour constater qu’il en avait marre d’attendre. Il le regarda avec un leger sourire aimable et chaleureux, qu’il agrementa d’un petit

«Bonjour Kamui ! »

Il entendit la porte se refemer derriere lui, ainsi que le son e la clé dans la serrure. Et voila, c’était partit pour deux heures. Quelle idée franchement, de l’enfermer ainsi, il risquait de se faire bien violenter si ca tournait mal, mais bon, c’est des choses qui arrivent. La douleur physique, ca passe, et puis, il pourrait toujours avoir sa revanche tot ou tard, il n’en doutait pas ! Il alla donc s’asseoir également, decalant legrement sa chaise pour être bien face son eleve. Cruz se cala bien confortablement sur la chaise, sans pour autant être avachi, pencha legerement la tête sur la droite, et son sourire toujours affiché sur son visage, il plongea son regard dans celui de Kamui. Quoi qu’il puisse ce produire, ce challenge de deux heure semblait tout à fait fun et enrichissant !!
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