BLASEMENT VIOLENT ( PV dirlo adjoint)

Juste une heure. J'aimerais voulu juste une heure de pose... J'en ai marre de tout ce bordel . Les nouvelles recrues me prennent la tête plus que jamais. je dois avoir besoin de vacances. Je sens la tension monter , et une sensation de mal être me ronger. Qui peut être que je vais en flinguer un ce soir , juste pour le fun, histoire de me faire une réputation un peu plus instable. Ce sale petit rouquin ... le dernier qui a pris la grosse tête et qui finalement a retrouvé sa cervelle en mode picasso sur le mur de la salle d'entrainement au combat. Le plus chiant dans tout ça, c'est de devoir appeler un homme à tout faire pour ramasser ses neurones d'ados déglingué qui pensait qu'il était un dur, un meurtrier hors paire. Que des sales gosses sans cervelles , qui se pensent plus fort les uns que les autres... De la vermine en boite. Je les méprise... Je les méprise ? Oula...

Je ferme un peu les yeux et fixe le sol dégueulasse. J'ai pas choisi le bon couloir. Et puis qu'est ce que je fous là à cette heure , avec ce temps pourri dehors. On est en mars... et il annonce une tempête de neige dehors dans une semaine. On risque d'être bloqué pendant deux bonnes semaines sans ravitaillement , et je suis là à errer, alors que la température baisse et que je suis en chemise semi ouverte... D.S.K. , mon nid à bébé frelon humain préféré. J'aime ces gamins en fait . Ils incarnent les vices et la déchéance de ce monde qui déconne, et ils ont beau être doués, il leur manque l'expérience et le savoir faire: un code d'honneur et une rudesse d'esprit. Ce sont des grosses boules de pâte à modeler bien piquante , de la dynamite sur pattes. Je pourrais pas m'en passer. Enfin , sauf que depuis deux trois jours, je ressens une instabilité comportementale et émotionnelle qui commence à m'emmerder sérieusement.

J'inspire un grand coup et me gratte machinalement la nuque sous mes mèches noires semi longues avant de reprendre ma traversée de cet immense couloir sous le bâtiment principal, qui mène à la réserve de médocs. J'ai besoin de feritine. Ma carrence me donne envie de dormir et ça m'énerve un temps soit peu. Et puis ... crac. Je baisse les yeux et grimace. Encore une de ces foutues araignées. Celle là , elle ne verra pas le jour. Dommage pour elle. Mais c'est bien dégueulasse, j'ai du boyau de migale partout sur la semelle. Je lève ma chaussure et secoue un peu. Merde , ça colle en plus et ca fait un genre de bruit d'aspiration gluante. Beurk. Je frotte ma semelle sur le sol et cherche dans ma poche arrière le vieux paquet de clope humide pour en sortir la dernière. Je la calle doucement entre mes lèvres pâles, et sort le briquet . Je craque la flamme et aspire doucement comme la bouffée salvatrice de mon stress avant d'expirer lentement .... quand j'entend quelque chose. Je me retourne ... personne...Mon regard se pince un peu , et je distingue un léger bout d'ombre... je ne bouge pas. Qui est le crétin qui a pour projet de m'assassiner... encore un débile qui va pleurer en crevant... Je me redresse un peu blasé , clope aux lèvres, et fourre mes mains dans les poches , attendant l'imbecile heureux qui a programmé de suicider...

Admin Messages : 14 Date d'inscription : 22/03/2011

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BLASEMENT VIOLENT
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Un jour comme les autres... enfin, c’est ce qu’on peut croire quand on voit Emichi aujourd’hui. Levé un peu trop en retard comme à son habitude, le garçon passa un bon quart d’heure assi dans son lit, la tête penché en avant, somnolant. Après s’être étirer et avoir baillé une bonne dizaine de fois, ce délavé et mit doucement debout, dos à son lit, regardant le mur d’en face.

« Punaiiiiise... j’ai pas envie... »

S’asseyant sur la seul chaise qui se trouvait devant sa petite table à mangé, il bailla une nouvelle fois avant de se remplir un bol de cereals. Il leva la tête et contempla le mur devant lui : Et oui, malheureusement, la table ne se plaçait qu’à cet endroit... en face d’un mur. Comme à son habitude après un bon petit déjeuner, le jeune homme ce prépara. Un tee-shirt noir moullant, un long jean bleu foncé, sa veste noir, sa paire de lunette, son packet de cigarette dans la poche gauche de sa veste et son zippo dans la poche droite. Un rituel ? Non, juste qu’il était fatigué de toujours se palper les poches pour retrouver ses affaires : là, au moins, il savait où ils étaient. Il pris la clé sur le rebord de la table après avoir débarasser son bol et son verre de jus d’orange qu’il avait remplit plusieurs fois pendant le repas et ouvri la porte. Un regard vers l’intérieur.

« Pfff... C’est n’importe quoi tout ça... Va falloir ranger tiens... »

Une pause. Sa chambre était vraiment sans dessus dessous... sa playstation était posé à même le sol, la manette sur la lit quelques mettres plus loin. Une chaise était à terre, à l’envers, tandis que des packets de chips ne laissaient plus voir la moindre parcelle du tapis... s’il y en avait un... Son lit était totalement défait : les draps en boulles pendant que la couverture trainait à moitié sur le lit, à moitié par terre. La taie d’oreillée était posé délicatement sur le lit, alors que l’oreillé trainait sur la télé.

« Euh... comment cette chaise est attérit là en faite ? »

Un temps. Le regard d’Emichi changeant, comme s’il se reveillait, choqué de se qu’il venait de voir, ne comprenant pas très bien se qu’il se passait.

« Boarf... tant pis, on verra ça ce soir. »

Le garçon referma la porte devant lui, puis y inserra la clé pour la verouiller. Un regard vers le plafond. Ses yeux, caché par ses cheveux, ne voyaient pas grand chose... surtout parce qu’il avait ses lunettes de soleil sur le nez alors que le couloir n’était pas éclairé. Soudain, plus rien ! Plus un geste. Vu de dos, le jeune s’était endormi debout... mais d’un coup, il se retourna, faisant un demi-tour à toute vitesse.

« Haha.... Hahaha... hahaHAHA... HAHAHAHAHAHAHA ! WHAAAAHAHAHAHArghg ! ... merde, pourquoi j’métouffe dans mon rire moi ? Putain c’est pas classe mec ! Heureusement qu’il n’y avait personne t’entendre ! »

Puis, un bruit retentit, suivis d’un aboiement. Emichi ne bougea plus... il était quelque peu courbé à cause de son rire mal terminé et n’avait pas pris la peine de se redresser. Il tourna délicatement la tête, les yeux grands ouverts.

« Me dis pas que... »

Un grognement ce fit entendre. Une legère silhouette fut découverte au fond du couloir, une silhouette qui grandissait de plus en plus à force de s’avancer. La vitesse de la chose était extra-ordinaire et sortit enfin de l’ombre.

« Et merde... et MEEEERDE ! »

Après avoir vu un enorme chien s’avancer vers lui en courant et en aboyant, le garçon pris ses jambes à son cou et partit en vitesse vers le coté opposé, criant tellement fort qu’on pouvait s’imaginer la terreur que lui faisait cet animal. Courant encore et encore après avoir arrêté de crier, il ne trouvait pas la fin du couloir puis, soudain, eux une idée. Il tourna vers la droite puis vers la gauche et fila le plus vite qu’il pouvait. Il vu une lueur au fond : c’était sa seul chance d’échapper à tout ça ! Il couru de toute ses force, regarda derrière lui. Malheureusement, le chien tant redouté réussi à lui accroché les fesses. Quelques larmes coulèrent sur ses joues avant de voir Hinomura, son grand frère, habillé d’une simple chemise comme à son habitude. C’est ce moment que pris Emichi pour se laisser aller et crier de toute ses forces en fonçant droit vers son frère. Il lui tomba dessus et, pendant 2 secondes, plus un bruit ! Ce magnifique silence fut cassé par le crit du plus jeune.

« Aie aie aie aie aie AIIIIIE ! Frè, Frèro ! Aide MOIIIIIIIIUUUIIIII ! »

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Hino fixait le fond. Il y avait une présence ... ou alors cela venait de plus loin , mais ca ne lui disait rien qui vaille. Mais rien. bon , certainement une lubie à la con , il avait du pas assez dormir ces derniers jours. Il haussa un peu les épaules, et passa sa langue sur sa lèvre inférieure, le froid se faisant prisant de plus en plus. Il fit craquer sa nuque sur la droite et reprit une marche tranquille, mais un autre vint le stopper , il s'arrêta vers un couloir sombre , à un angle et plissa les yeux , les pas se rapprochant , jusqu'à soudainement prendre un gens contre lui , en plein torse. instinctivement , il referma ses bras sur lui , la clope pendant aux lèvres, les yeux grands ouverts , par surprise. Il recula de quelques pas.

"Mais qu'est ce que ... tu... Emichi ?? Mais qu... "

Un grognement. Il le connaissait ce grognement ... Sans réfléchir, il sortit le tazer qui avait dans la poche arrière , et attrappa Emichi par la taille avec une force soudaine , le faisant pivoter sur le coté , dans son bras et l'autre bras contourna le corps de son frêre pour aller se planter dans la nuque du chien qui allait refoutre ses crocs dans ce petit cul blanc. Le regard de Hinomura se durcit , s'assombrit. Ses traits se tirèrent et sa surprise laissa place à une expression froide et inhumaine....

" Kriddle... ça faisait longtemps..."

Le chien se recula en grognant sans un seul couinement de douleur et Hinomura bascula le boiteux derrière lui , le faisant reculer un peu de sa main à plat sur son ventre .

" Reste à l'écart , je m'occupe de tes blessures ensuite...."

Le chien faisait les cent pas dans le couloir cherchant une feinte pour aller bouffer ce cul plein de sang qui l'excitait. Hinomura sortit l'electriseur et appuya dessus mais il n'y eut aucune réactions .... Cette saloperie avait arrachée son collier electrisant. là , c'était un peu plus emmerdant. Ne le lâchant pas du regard , il échappa un "merde " un peu murmuré. il se décalla un peu sur le coté , et rammassa une tige de fer rouillé qui trainait... un bout de rampe pété.. tout récemment d'ailleurs,faudrait qu'il pense a trouvé les petits malins responsables de ça. Il se courba un peu et donna le tazer à Emichi.

" Si je le loupe , tu utilise ça jusqu'à ce qu'il crêve..."

Ce clébard aimait le sang humain , c'était une nouvelle. Certains élèves étaient morts à cause de lui... Le chien n'en avait que pour le sang d'Emichi . ok , au grand soucis le grand remède. il laissa le chien approcher et il lui mordit sauvagement la main. De la main libre , il lui infligea un violent coup de barre de fer dans la gueule , pour luifaire lacher prise , éloignant le chien ...

' RAHHH Putain , ca fait malll! " gémit-il en secouant un peu la main.

Le chien se concentra sur Hino. Il se léchait les babines....

" Vas y , viens saloperie... t'as oublié qui t'as élevé ... "

Le chien ne se fit pas prié et Hino gueula un grand coup comme un sauvage en lui assénant un coup de barre de fer rouillé dans les cotes. le chien vola au sol en couinant. Enervé , il regarda sa clope au sol et regarda à nouveau le chien , et s'avança vers lui , mais le chien se releva en boitant et s'eloignant au vite qu'il peut . Hino jeta la barre dans sa direction , la main pissant le sang et regarda plongea la main valide dans sa poche. Putain plus de clope. une clope vite. il se retourna vers son petit frêre , le regard planqué sous ses mèches sombres, les canines presque apparentes, et s'avança silencieux vers lui , comme s'il n'avait rien à la main. Il sortit son briquet de sa main blessé, et s'en servit comme d'ordinaire.

" File moi une clope vite ..."

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BLASEMENT VIOLENT
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Après s'être fait câliner une demi seconde par son frère, Emichi vu alors une scène vraiment étrange. Hinomura avait foncé dans le tas sans réfléchir, il venait de se faire blesser pour blesser le chien... enfin... le blesser, c'est un bien petit mot : il l'avait maravé à coup de morceau de poutre ! Ou de rampe ouais, si vous voulez... Roh c'est bon hein ! C'est moi qui raconte l'histoire, si vous n'êtes pas content, bah vous avez cas le faire hein... Donc je disais : Après avoir totalement défoncé l'animal à coup de... ouais bon, c'est bon ! Après lui avoir explosé la gueule, Le frère d'Emichi vint en face de lui, main en sang, quelques gouttes de sueur sur le front à la demande de cigarette.

« Wouhaw ! Meec ! Regarde ta putain de main ! »

C'était les premiers mots du plus jeune après avoir vu un tel spectacle. Accroupi maladroitement, il avait attrapé le poignet blesser et le pointait du doigt avec l'autre main, un air choqué se formait sur son visage.

« He, tu vas me nettoyer tout ça hein ! Déjà, tu vas passer ta main sous l'eau hein ! Puis ensuite, tout ce sang, t'en fait quoi ? Nan mais, t'es le dirlo et t'es même pas foutu de faire les choses proprement ! C'est quoi ce bordel ? OH ! »

Emichi réalisa enfin que le chien, étendu au sol, baignant dans une flaque de sang, était mort. Cet animal, appelé Kriddle, était très puissant ainsi que très rapide. Personne n'avait encore réussi à aller plus vite que lui ou à le battre... A part le directeur. Le jeune homme s'avança vers le chien, dos à son frère, se mit à genoux et se mit à pleurer.

« NaaaaaAAANnnn !!! Pour... pourquoi luiiiiii ? Je veux paaaas qu'il meeeuuurt !! »

Un mouvement de tête vers Hinomura, son visage était remplit de larmes, comme s'il venait de tout perdre. Il attrapa le chien et le pris dans ses bras tout en pleure, se tachant de sang encore plus qu'il ne l'était.

« Eh mais ! »

Il regarda le chien, puis se leva. Le mammifère pendait par une patte qu'Emichi tenait encore, laissant une grosse quantité de sang couler.

« Mais en fait j'en ai rien à foutre de ce clebs ! »

Air choqué, le jeune lança l'animal à ses pieds pour enfin se rapprocher de son frère. Il le regarda et lui fit signe du doigt en direction de sa main, lui faisant comprendre qu'il fallait vraiment s'occuper de la main blessée de son frère puis, comme s'il venait de comprendre quelque chose, il fouilla vite dans ses poches. Celle de droite, celle de gauche. Rien : Son paquet de clope n'était plus là. Déjà qu'il avait oublié de donner directement une cigarette à son frère, si puissant et... Ah mais non en fait ! Il n'avait pas peur de son frère... Mais pour le remercier de son aide vis-à-vis de ses fesses et pour lui-même, étant en manque de nicotine. Un regard vers la droite, un vers la gauche. Le paquet était à terre, posé prêt des pieds de son frère. Le garçon s'avança donc vers Hinomura, se pencha afin de prendre son paquet de cigarettes puis le tendit à son frère pendant qu'il se redressait. Enfin, il prit une clope. Mais soudain ! Un mal horrible lui fit pensait à l'épisode précédent : la morsure du chien ! Une larme, un cri.

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Affligeant. Désespérant... Pathétique? en tout cas certainement trés grotesque. C'était ça.... Hinomura soupira une première quand l'autre lui fit la morale pour sa main , accroupi comme un genre de primate habillé. Il baissa les yeux sur la tignasse blonde, histoire de se demander une courte seconde si cet abruti avait ignoré sa demande ou si des cheveux poussaient aussi dans son cerveau pas tout allumé. Il eut envie de lui dire qu'il s'en foutait de sa main , et qu'il l'emmerdait là , c'était sa faute s'il était dans cet état. S'il n'avait pas détourné le chien avec son propre sang , il se serait fait bouffer le chti frere cheri. Ca cicatrisera vite , pas comme son cul qui avait pris cher. Il fronça un sourcil , la douleur de sa main grandissante au contact de ce démeuré dénué de douceur dans sa bêtise, puis soupira une seconde fois en s'écrasant une main sur le visage , la descendant doucement le long de sa joue, se déformant un peu la peau au passage sous la débilité naissante de son frêre qui pleurait ce clébard de malheur comme si c'était sa mère.... Il lui aurait bien foutu un coup de pied au cul là pour le coup. C'était d'une irrationnalité infligeante son comportement. plus ça allait , plus il déconnait ce gamin ....

Hino voulait cette putain de clope. il allait le taper s'il faisait encore le débile mental. Il n'était pas patient quand il avait mal et encore moins sympa. Il leva les yeux au ciel en l'entendant se rendre compte de son acte un peu arriéré et grimaça un peu en secouant sa main, étalant des gouttes de sang un peu n'importe où. Le gamin revint direct sur lui. En plus de l'avoir engueulé et d'agir comme un primate illogique, voila , qu'il refixait cette main...Et hop , ah ça y est quand même une clope ! Et il se souvient qu'il a mal au cul! Bien t'es sur la bonne voix Emichi ! Continue..! Hino choppa la clope en le fixant sans ménagement , un peu pas content , trés énervé meme , bien endolori , et silencieux , puis il le choppa d'un coup par le col de son haut , de sa main valide, bien fermement et il l'entraina sans ménagement vers la sortie du couloir qui donnait sur le secteur médical. Coincidence ou pas, c'était pas si mal dans un sens. Il allait finir par l'assomer si la distance était trop longue.

" Ne m'donne pas d'conseil sur ce que j'dois faire en tant que dirlo. T'es mon adjoint et tu chiales comme une pucelle pour un truc même pas valable. Alors ferme la tu veux. "

Hino aspira un coup de clope, la calla dans ses lèvres pales, le vent batailla ses méches noires, il ouvrit la grande porte de sa main blessée en serrant les dents , écrasant un peu le filtre de la clope, et le poussa séchement à l'interieur. Il passa à son tour, les bracelets frollant la poignée qui se rabbatit et il entraina son frere vers la salle de consultation principale, avant de fermer à clef derrière lui. Il se retourna vers Emichi , sérieusement , le regard authoritaire, et ôta son haut plein de sang pour être plus à l'aise. il alluma l'eau d'un évier en céramique désynfecté et plongea sa main sous la flotte gelée, en serrant les dents un gémissement de douleur tranperçant à peine ses lèvres. il ferma les yeux et serra son poignet de l'autre main , pour compenser la douleur de sa main .

" Pose ton fut. Obéis ... j'suis pas d'humeur. J'vais t'soigner."

La pièce était blanche , peu éclairé, juste d'un néon centrale. Sur tout le contour on trouvait des placards , des armoires verrouillées avec des calmants , ouvrables avec les pass des dirlo , comme toutle reste d'ailleurs. Le personnel n'était pas encore là , et l'infirmière de garde qui les avait passé, n'avait rien osé dire sous le regard meurtrier d'un Hino endolori.

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