Ouverture agitée [PV Enzo Corruptine ~ Hardshoujo & Violent]

Messages : 5 Date d'inscription : 27/03/2011

Yui avait finit d’emménager hier. Elle avait récupéré les clés au près du directeur puis avait vidé ses dernier cartons, surtout remplis de vêtements…En particulier des robes chinoises, allant de la plus sobre en noir jusqu’à la plus excentrique mélangeant plusieurs couleurs fluo et un certain nombre de breloque faisant du bruit dés qu’elle bougeait. Après cela, elle avait rapidement réglé son radio réveil pour le lendemain avant de s’écrouler comme une masse sur le lit, rebondissant un peu. Morphée l’attira bien vite dans ses bras, la faisant sombrer dans un profond sommeil réparateur.

Le réveil sonna…une fois…deux fois…à la troisième, il était par terre et on pouvait entendre un grognement sourd venant de sous la couette, un bras pendant mollement sur le bord du lit. Après quelques minutes de silence, une tête sortit enfin de sous la couette, enfin si on pouvait appeler ça une tête…c’était plus un tas de cheveux châtain foncé en désordre sur ce qui était une masse noire ressemblant à un t-shirt taille XXXL. S’étirant longuement, la chose, finit par se glisser hors de sa zone de repos, dévoilant de belles jambes fines et blanches sans la moindre marque, à part le tatouage à la cheville gauche représentant une rose noire. D’un pas lent Yui se dirigea vers la salle de bain où elle retira paresseusement son t-shirt, dévoilant son petit corps de femme, puis elle se glissa sous la douche, chose qui la réveilla quasiment instantanément. Cela fait, elle arrangea ses cheveux en chignon, laissant juste deux mèches encadrer son visage, elle s’habilla et opta pour une robe assez voyante de couleur rose fluo pour attirer les gens, même si elle savait qu’elle n’allait pas avoir de concurrence d’en les environs.

Elle récupéra deux trois affaires, des vêtements de rechange au cas où elle salissait cette robe-ci, puis elle quitta enfin son appartement en le refermant à double tour derrière elle. Les clés de l’Occasionnel dans l’autre main, elle se dirigea vers le bâtiment. Enfin arrivé devant la porte, elle glissa la clé dans la serrure et tourna deux fois avant de pousser la porte. La première chose qu’elle fit, fut d’aller allumer les lumières en suivant le mur de gauche pour rejoindre un escalier allant dans la cave. Elle actionna divers boutons et tout s’alluma tranquillement. Cela fait, elle remonta et passa un rapide coup de balais et de chiffon dans toute la pièce, puis elle installa les chaises, les tables et tout. Elle vérifia les réserves, passa deux trois coups de fils pour commander différents types d’alcool chinois tel que du Baijiu, du Baïkal ou du Meiguilujiu, ainsi que différents aliments chinois, comme le traditionnel biscuit avec un papier dedans. Lorsqu’elle eu finit tout ça, elle alla ouvrir la porte pour montrer que le bar était enfin op’. Elle alla se poster derrière le comptoir, remplissant quelques papiers, guettant ses premiers clients. Elle alluma la chaine hifi installée derrière le comptoir, et mit une musique rock comme fond d’ambiance. Elle ne se posa sur une chaise, que lorsque tout fut terminé.

Messages : 8 Date d'inscription : 28/03/2011

On lui avait demandé de sortir un peu, de s'habituer à la vie sociale. Il marchait, ou plutôt trainait, près d'un bar nommé "L'occasionnel". Intrigué par ce mot, il s'y aventura, curieux de savoir ce que ce mot pouvait bien signifier au fond en tant que nom d'établissement. Il ne vit personne au premier abord, excepté des décorations chinoises peu étonnantes. Il s'assit sur une chaise, trouvant le bois confortable, habitué à un sol de pierre humide et sale sur lequel il restait assis toute la journée, voire endormi... Puis la serveuse arriva, dans une robe d'une couleur qu'il reconnaissait bien. Cette couleur, son deuxième père la portait souvent, ce qui lui avait valu moultes violences et frappes, et finalement, ce qui avait développé la phobie de cette couleur chez Enzo. Cette couleur n'était rien d'autre que le rose... Et le rose fluo lui faisait un effet encore pire que tout le reste. Sa vue lui fit ouvrir des yeux ronds, tant qu'on aurait cru que sa peur la plue flagrante venait de surgir. Ce qui était le cas...

Il se jeta sur la chinoise, lui arrachant sa robe, la jetant au loin, gigotant violemment de partout. Il se frappa notamment la tête contre le mur, pour tenter de calmer sa frénésie. Mais rien ne marchait... Alors, un filet de sang coulant sur le front, il tourna la tête lentement vers la chinoise, un air fou, presque indescriptible. Un petit rictus naquit alors sur ses lèvres. Il se jeta vivement sur elle et, en un éclair, la plaqua contre le sol, une main lui serrant le cou, une autre tâtant doucement une des cuisses de la patronne du lieu. Il semblait frénétique, comme enivré de violence, se nourrissant de la haine et de la souffrance des autres et de lui-même, comme s'il était sous l'effet d'une drogue dure et incroyablement addictive. Il léchouillait le visage de la chinoise, sa force physique étant presque décuplée sous l'effet de cette drogue virtuelle qu'il recevait en souffrant tout en faisant souffrir quelqu'un...

Ses yeux de la couleur du sang lui donnaient ici l'air d'une bête féroce en manque de nourriture. Mais il ne voulait pas de la nourriture... Il voulait du sexe. Et il en aurait. Il n'avait violé jusque la que quatre filles. Mais il ne les tuait pas ensuite... Il les laissait cogiter et souffrir et, une fois satisfait de la douleur infligée et reçue par les coups et blessures d'une fille se défendant, il retournait au calme. Il était étrange de voir un être d'habitude si calme et distant ici si proche et excité... Il agitait son bassin contre elle, lui massant la cuisse de sa main froide, mais si douce... Il avait l'air presque extasié par cette sensation de douleur, et il continuait de s'agiter contre elle, espérant qu'elle résisterait...

Messages : 5 Date d'inscription : 27/03/2011

Yui avait vu un jeune homme entrer dans le bar, elle attendit un petit moment puis finalement s’approcha, un sourire sur les lèvres. Elle n’eu pas le temps de prononcer le moindre mot que le jeune homme lui avait sauté dessus et lui avait arraché furieusement sa robe chinoise. Clignant des yeux à plusieurs reprise, le chinoise le regarda, ne comprenant pas vraiment ce qui se passait à l’instant même. Elle fronça les sourcils lorsqu’il tourna la tête vers elle, mais il fut trop rapide et la plaqua brutalement au sol, lui coupant le souffle. Essayant d’ignorer au possible la douleur, elle se mit à frissonner en sentant une main froide caresser sa cuisse. Elle dégluti face à ce contact, elle qui n’avait jamais été touché par un autre homme que son frère, bien sûr pas un contact incestueux…plus un contact de réconfort. Elle rouvrit doucement ses yeux qui s’étaient fermés lors du choque contre le sol et plongea son regard dans celui du jeune homme…Rouge, ce fut la première chose qu’elle vit…des yeux rouge sang, semblable à ceux d’une bête enragée. Lentement, elle bougea les bras et posa une main sur le torse, tendis que l’autre attrapa la main caressant sa cuisse. Sans prévenir, elle poussa violement le jeune homme à l’aide d’une main et d’un genou qu’elle avait replié, tout en lui tordant brusquement le poignet.

Lorsqu’elle eu enfin plus de liberté pour ses mouvements, elle se mit accroupit sur le sol, un genou posé pour gagner en stabilité, le quittant pas du regard le jeune homme qui lui avait arraché sa robe et sauté dessus. Son regard acier était froid, elle réfléchissait à tous les moyens possibles pour rester à une distance plus que raisonnable… Elle venait de passer en mode « tigresse » comme s’amusait à dire les hommes de son père. Elle n’avait pas d’arme, vu qu’il était interdit d’en apporter, mais elle s’avait très bien se défendre au corps à corps et ça, le jeune homme risquait de l’apprendre à ses dépends si il la sous-estimait trop.

Elle recula lentement jusqu’à atteindre le comptoir, elle ne se releva qu’à ce moment là, s’appuyant sur le meuble pour grimper dessus en arrière avec une souplesse étonnante. Elle passa de l’autre côté du comptoir en seulement quelque seconde, retombant sur ses pieds délicatement, en fixant froidement le jeune homme. Elle se mordilla les lèvres et bougea sur le côté pour éteindre la chaine hifi, pour pouvoir bien se faire entendre.

« Qui es-tu ? Désolé de te décevoir, mais je ne tolère pas ce genre de comportement dans mon établissement…Si tu continue comme ça, je me verrais dans l’obligation d’agir… »

Et quand elle parlait d’agir, c’était l’immobiliser, le mettre dans un coin où il ne risquait pas de blesser quelqu’un où de se blesser, puis d’appeler le directeur…Après tout il lui avait bien dit de prévenir en cas de problème…Mais pour l’instant, ce n’était pas la priorité…

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